B288-Petit guide pratique pour combattre le coronavirus.

Article de Henri Viaud-Murat.

Au cours des articles précédents concernant ce coronavirus, nous avons établi les fondements bibliques de notre combat contre la maladie. Vous trouverez dans cet article un petit guide pratique pour vous permettre de bien mener concrètement votre combat contre ce coronavirus, si vous êtes concerné, car il s’agit d’un combat spirituel.

Vous devez avoir compris à présent que Dieu veut notre bien et a déjà pleinement pourvu, en Christ, au pardon de nos péchés et à la guérison de nos maladies et de nos infirmités.

Nous ne devons donc pas accepter l’idée que la maladie est quelque chose d’inéluctable. Tant mieux si la science médicale parvient à guérir ou à améliorer la situation de beaucoup de malades. Mais la science a des limites, et parfois elle ne peut rien faire.

Dans le cas du coronavirus, la science n’a pas encore trouvé de traitement totalement efficace, même si certaines approches sont prometteuses.

Nous ne devons pas être opposés aux bienfaits de la médecine et des mesures de protection que nous devons observer. Ils sont nécessaires dans un monde qui ne connaît pas Dieu et qui, donc, ne peut pas lui faire confiance.

Mais nous disposons, dans le sacrifice substitutif de Jésus-Christ à la croix, du seul moyen parfaitement efficace pour nous guérir! Toutefois, nous devons savoir comment mettre en oeuvre ce moyen.

En effet, beaucoup de chrétiens croient que Jésus S’est bien chargé de leurs maladies sur la croix. Mais ils n’arrivent pas à voir la guérison se manifester dans leur corps. Ils sont frustrés, et finissent par se décourager et à baisser les bras.

C’est pour ceux-là tout particulièrement que j’ai rédigé ce petit guide pratique du combat spirituel, que nous devons tous mener de toute manière.

Quand nous lisons les évangiles et les Actes des Apôtres, nous devons constater tout d’abord la puissance du ministère de guérison du Seigneur Jésus: TOUS les malades qui sont venus Le trouver pour être guéris l’ont été, la plus souvent instantanément.

En second lieu, nous devons aussi constater que les disciples eux-mêmes ont exercé un ministère de guérison semblable à celui de leur Maître, puisque, du début à la fin du Livre des Actes, tous les malades ont continué à être guéris, comme on le voit écrit dans Actes 5: 16 et Actes 28: 9.

« La multitude accourait des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs, et tous étaient guéris. »

« Là-dessus vinrent les autres malades de l’île, et ils furent guéris. »

Comment se fait-il que les disciples pouvaient obtenir de tels succès?

Tout d’abord, avant même Sa mort et Sa résurrection, Jésus avait conféré à Ses disciples, d’abord aux douze, puis aux soixante-dix, le pouvoir de guérir tous les malades, et de chasser tous les démons.

« Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité » (Matthieu 10: 1).

Ensuite, après Sa résurrection Jésus donne ce même pouvoir à tous Ses disciples:

« Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues;ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris » (Marc 16: 17-18).

Les disciples de l’Eglise primitive connaissaient donc cette autorité que le Seigneur leur avait donnée pour la guérison des malades et la délivrance de ceux qui étaient oppressés par des démons.

Mais, pour que cela soit pleinement efficace, deux conditions devaient être remplies:

– Tout d’abord, les disciples devaient garder la foi, et ne jamais douter qu’ils avaient reçu cette puissance.

– Ensuite, ceux qui devaient bénéficier de cette puissance devaient croire que les disciples pouvaient les guérir et les délivrer.

Rappelons-nous qu’à Nazareth, Jésus Lui-même ne put faire aucun miracle, à cause de leur incrédulité:

« Il ne put faire là aucun miracle, si ce n’est qu’il imposa les mains à quelques malades et les guérit. Et il s’étonnait de leur incrédulité » (Marc 6: 5-6).

Quand les disciples n’ont pas pu guérir le jeune homme qu’un mauvais esprit jetait dans l’eau ou le feu, alors qu’ils en avaient le pouvoir, Jésus leur dit clairement que c’était à cause de leur incrédulité (Matthieu 17: 20).

Cela signifie aussi que tous ceux qui ont été guéris par le Seigneur Jésus, au cours de Son ministère terrestre, avaient la foi qu’Il les guérirait. Parce qu’ils pouvaient voir de leurs yeux Jésus guérir tous les malades, et cela leur donnait l’assurance qu’il en serait de même pour eux! Jésus avait la foi, mais les malades aussi devaient l’avoir.

Comment Jésus et les disciples guérissaient-ils? En général, en prononçant une parole d’autorité: « Lève-toi et marche! » « Sois guéri de ton mal! » « Etends ta main! » « Recouvre la vue! »

A la Belle Porte du Temple, dans Actes 3: 6-7, Pierre dit au boiteux de naissance: « Ce que j’ai, je te le donne: au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche. Et le prenant par la main, il le fit lever. Au même moment, ses pieds et ses chevilles devinrent fermes. »

Comprenez bien que ni Jésus ni les disciples n’ont jamais prié Dieu de guérir un malade ou un infirme. Mais ils les guérissaient eux-mêmes par une parole de foi.

Jésus nous rend responsables de guérir nous-mêmes les malades:

« Allez, prêchez, et dites: Le royaume des cieux est proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Matthieu 10: 7-8).

En matière de guérison, Dieu a déjà fait Sa part en Jésus-Christ: Il a porté nos maladies sur la croix, et nous a guéris par Ses meurtrissures. Puis Il nous a donné le pouvoir de guérir et de délivrer, en Son Nom.

C’est donc à nous de réaliser que nous avons reçu ce même pouvoir, et que nous devons l’exercer comme Jésus et les disciples l’ont exercé, en ordonnant aux maladies de quitter nos corps, ou les corps des malades qui veulent être guéris.

Nous devons donc comprendre absolument quelle est l’importance capitale des paroles que nous devons prononcer avec foi, dans ce combat spirituel contre ce virus!

Dieu a tout créé par Sa Parole, et Il n’a jamais douté que les paroles qu’Il prononçait allaient s’accomplir! Quand Il a dit: « Que la lumière soit! », la lumière fut aussitôt!

L’enseignement du Seigneur Jésus à ce sujet est très clair. Prenons l’exemple du figuier maudit.

Jésus a prononcé contre le figuier stérile cette parole: « Que jamais personne ne mange de ton fruit! » (Marc 11: 14).

A cet instant, le figuier mourut à partir de ses racines.

Le lendemain, Jésus donne cette leçon capitale à Ses disciples:

« Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu. Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses » (Marc 11: 22-26).

Jésus nous demande tout d’abord d’avoir foi en Dieu. Le texte grec dit: « Ayez la foi de Dieu! » Cela signifie que nous devons avoir une foi semblable à celle de Dieu, c’est-à-dire une foi qui ne croit qu’en la Vérité de la Parole de Dieu, comme Dieu croit en la Vérité de Sa propre Parole!

Ensuite, le Seigneur nous demande de PARLER à la montagne qui se dresse devant nous! Dans le cas qui nous intéresse, cette montagne est la maladie causée par le coronavirus.

Nous devons donc parler à cette maladie, qu’elle soit dans notre corps ou le corps d’un malade, et lui ordonner de quitter ce corps, au nom de Jésus!

Mais le plus important, c’est de croire, dans notre coeur, que ce que nous disons se produit quand nous le disons! Et alors, nous le verrons s’accomplir!

Nous pouvons avoir la foi dans notre coeur que cette maladie partira, comme nous le lui avons ordonné, parce que nous connaissons la volonté de Dieu concernant la maladie: il s’agit d’une oeuvre de Satan, que Jésus est venu détruire à la croix!

Et le Seigneur ajoute: « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. » Il s’agit là d’une promesse absolument certaine!

A partir de ce moment-là, nos yeux doivent rester fixés sur la promesse, et plus sur les symptômes! Et nous devons agir comme si nous étions guéris, parce que Dieu dit que nous le sommes! Satan peut jouer sur les symptômes comme il le veut, mais il ne peut rien faire pour s’opposer à une Parole de Dieu prononcée avec foi! Alleluia!

Enfin, Jésus termine en nous demandant de pardonner à tous ceux qui nous ont fait du mal. Car, si nous ne pardonnons pas, nous aurons beaucoup de mal à croire aux paroles que nous prononcerons, parce que notre conscience sera chargée.

Quand nous avons pardonné, notre conscience ne nous trouble plus, et nos paroles seront puissantes, parce que nous aurons la foi dans notre coeur quand nous prononcerons ces paroles.

Derrière ce coronavirus agit une puissance diabolique de mort. Mais cette puissance de mort peut être complètement détruite par la puissance de Vie qui se trouve dans une parole de Dieu que nous prononçons avec foi!

Nous devons toujours être des hommes et des femmes de parole, en tant que chrétiens. Nous devons tenir notre parole! En ayant ainsi ainsi à coeur de tenir notre parole, nous nous habituerons à attacher notre foi aux paroles que nous prononçons, parce que nous savons qu’elles ont de la valeur. Et cela, d’autant plus qu’il s’agit des paroles de notre Seigneur!

Pour résumer, voici les points les plus importants à retenir:

– Jésus-Christ a porté sur la croix nos maladies et nos infirmités, conséquences de nos péchés.

– Par Ses meurtrissures, nous avons déjà été guéris.

– Nous devons le croire de tout notre coeur.

– Pour bénéficier de la guérison, ou en faire bénéficier les autres, lorsque nous sommes attaqués par la maladie, nous devons parler à la maladie, et lui ordonner de quitter notre corps, au nom de Jésus.

– Nous devons croire dans notre coeur que cette parole s’accomplira, parce que c’est la volonté de Dieu.

– Nous devons conserver cette attitude de foi, et nous verrons la maladie partir!

– Nous devons avoir notre coeur libre, et pardonner à tous ceux qui nous ont offensés.

Dieu ne fera jamais à notre place ce qu’Il nous demande de faire nous-mêmes! Jacques a écrit ceci:

« Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Jacques 4: 7).

C’est NOUS qui devons résister au diable en lui donnant des ordres au nom de Jésus! Et c’est de NOUS qu’il doit s’enfuir!

Mais nous devons le faire avec une foi ferme:

« Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme » (1 Pierre 5: 8-9).

Merci, Seigneur, parce que nous avons compris que nous ne devons pas paniquer devant cette épidémie meurtrière! Tu l’as vaincue à la croix, et tu nous a donné la puissance de la vaincre en Ton Nom!

57 Responses to B288-Petit guide pratique pour combattre le coronavirus.

  1. Éric dit :

    Bonjour frère Henri, Je me permets encore une question sur la maladie, enfin pas tout-à-fait la maladie, mais plutôt des accidents bénins: une personne qui par exemple se tord la cheville en marchant ou en faisant du sport, s’agit-il d’une attaque de Satan? Est-ce qu’un chrétien pleinement béni, marchant par l’Esprit, est protégé de ce genre « d’attaques »? Ça me fait penser à Adam et Eve: est-ce qu’Adam et Eve, avant la chute, auraient pu se blesser physiquement ou même avoir des caries? Vu de ma petite fenêtre, j’aurais tendance à penser que non, car ils étaient protégés et la mort n’était pas encore entrée dans le monde, et donc dans leurs corps. Est-ce que mon raisonnement est juste? Un grand merci encore pour le temps consacré aux réponses des internautes. Que Dieu te bénisse ainsi que ta famille

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    • Henri Viaud-Murat dit :

      Cher frère, A leur création, Adam et Eve étaient parfaits, saints et immortels. Aucune maladie, aucun accident ne pouvait leur survenir. Maladies, accidents, ou caries, sont les résultats du péché et de la malédiction. Si un chrétien se tord la cheville en faisant du sport, ce n’est pas nécessairement une attaque de Satan. Cela peut être simplement une inattention ou un comportement inapproprié. Mais cette inattention ou ce comportement inapproprié ne sont pas le propre d’un être parfait et immortel, en communion avec Dieu et sous Sa protection constante. On peut donc penser qu’un chrétien qui marcherait parfaitement par l’esprit serait à l’abri de telles choses. C’était le cas de Jésus!

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  2. jean. Adz dit :

    OK, homme de Dieu et père spirituel. Ce guide pratique du combat spirituel est très clair. Je le considère comme un guide pour tous les combats. Il faut que je le mette en pratique. Mais il ne doit pas être pratiqué de manière legaliste. Il faut qu’il soit poussé et inspiré par le Saint Esprit. C’est le chrétien qui marche par l’esprit qui peut le réussir. Car la chair ne sert de rien. Frère Jean.

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    • Henri Viaud-Murat dit :

      Cher frère Jean, tu as raison et je comprends ce que tu veux dire. Mais, pour ma part, je n’aime pas ce terme de « père spirituel. » Parce que nous n’avons qu’un seul Père, c’est Dieu notre Père. Les seuls qui pourraient m’appeler leur « père spirituel, » ce sont ceux que j’aurais pu amener à la conversion à Jésus. Mais, même là, je n’aimerais pas qu’ils continuent à m’appeler constamment leur « père! » Peut-être que je me trompe, mais cela me donne l’impression de priver notre Père d’une partie de Sa gloire et de Ses prérogatives!

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      • frère Jean dit :

        Car quand vous auriez dix mille maître en Christ vous n’avez cependant pas plusieurs pères puisque c’est moi qui vous ai engendré en Jésus Christ par l’évangile 1cor 4 v 14 à 15. Pour cela je vous ai envoyé timothee qui est mon enfant bien aimé et fidèle dans le Seigneur……. 1cor 4 v17. Mes enfants pour qui j’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement jusqu’à ce que Christ soit formé en vous. Gal 4 v 19. Oui tu te trompes comme tu l’as pressenti toi même. Cette impression que tu as de prendre la place de Dieu le père est fausse. Ne te met pas dans une humilité humaine. Tu es un véritable docteur de la parole de Dieu. Lorsque tes enseignements engendrent quelqu’un en Christ, ce dernier est ton fils spirituel. Ce n’est pas par snobisme, ou par mode etc que je t’appelle père spirituel. Même si tu n’as pas été le premier à m’apporter la parole de Dieu, ce sont tes prédications qui m’ont permis de devenir un véritable enfant de Dieu. Tu ne peux pas être un simple frère en Christ pour moi comme les autres. Par ailleurs, tu te réunis régulièrement avec des frères pour des séminaires. Tous ceux là peuvent t’appeler aussi père spirituel puisque tu veilles sur leurs âmes comme un pasteur le ferait. Frère Jean.

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      • Henri Viaud-Murat dit :

        Cher frère, Paul les avait conduits à la conversion au Seigneur, c’est pour cela qu’il est leur « père » en Christ. Comme pour Timothée. Même si nous n’avons pas tous le même ministère, nous sommes tous les enfants d’un même Père. Donc, je n’aime pas qu’on m’appelle « père, » simplement parce que Jésus a dit: « Et n’appelez personne sur la terre votre père; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux » (Matthieu 23: 9). Je n’empêche personne de m’appeler « père, » mais ils doivent savoir que cela ne me plaît pas. Et ce n’est pas par fausse humilié, mon frère.

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    • frère Jean dit :

      OK. Mais je relève néanmoins que je ne t’appelle pas « père, » car je sais bien que le Seigneur a dit de ne pas appeler quiconque père. Je t’appelle plutôt: père spirituel. Ceci est bien différent de père, ou même « mon père » comme dans certaines religions. L’expression « père spirituel » est merveilleuse, car elle contient une charge d’amour et de responsabilité les uns envers les autres. Dommage que tu refuses qu’on t’appelle « père spirituel » car les arguments que tu avances sur ce point précis ne sont pas infaillibles bibliquement parlant. Je t’appellerai néanmoins « homme de Dieu. » Je profite pour te demander: quelle est ton ministère? Apôtre, prophète, évangéliste, docteur ou pasteur? Frère Jean.

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      • Henri Viaud-Murat dit :

        Cher frère, je t’ai dit que je n’empêcherai personne de m’appeler « père, » mais que cela ne me plaît pas. Inutile de chercher des arguments bibliques! Pourquoi toujours chercher à donner une appellation, que ce soit « père spirituel » ou même « homme de Dieu »? Souvent, ceux qui aiment qu’on les appelle ainsi, sans le dire bien sûr, aiment aussi se considérer comme étant au-dessus du troupeau. J’aime qu’on m’appelle tout simplement « frère, » parce que nous sommes tous les enfants du Seigneur. Nous avons tous la même place dans Son coeur, même si nous avons des appels différents. Je suis enseignant de la Parole de Dieu, sachant que j’enseigne parfois de manière prophétique. L’enseignant explique la Parole, tandis que le prophète appelle à la repentance, annonce les jugements de Dieu sur les rebelles et la bénédiction du Seigneur sur Ses fidèles, et peut aussi annoncer des événements futurs.

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  3. MARIA BADAIRE dit :

    Bonjour Frère Henri, merci pour toutes ces paroles encourageantes. Que notre Grand Dieu, Créateur de toutes choses, qui a donné Son Fils en sacrifice pour le pardon de nos péchés, te bénisse. Je voulais partager avec vous un grand moment ce matin: j’ai demandé à mon mari, qui est croyant, de me baptiser par immersion dans notre maison. Après que j’aie demandé à Dieu de me pardonner mes fautes et que j’aie reconnu que Son Fils est le seul moyen pour avoir la vie éternelle, mon mari a prononcé des paroles en accord avec la Parole de Dieu et il m’a donc plongée dans l’eau. Ma fille de 15 ans, qui a assisté comme témoin de mon baptême, nous a demandé de l’instruire également de la Parole de Dieu. Je sais que nous allons être guidés pour lui transmettre notre amour pour Dieu et Son fils. Bonne journée à tous.

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  4. VAL dit :

    Bonjour frère Henri, Si un homme et une femme n’ont jamais été mariés, mais ont vécu ensemble, ont eu des enfants ensemble, et se séparent, il n’y a donc pas eu d’alliance dans le sens mariage devant Dieu. Si l’un des deux, maintenant, se remet en couple avec une autre personne, peuvent-ils se marier? Personnellement, je crois qu’ils peuvent se marier, car il n’y a pas eu d’alliance devant Dieu, car évidement il n’y a pas de divorce. C’est bien cela, ou je me trompe? Merci.

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    • Henri Viaud-Murat dit :

      Dieu connaît les coeurs, et, si celui qui veut se séparer et se remettre en couple est chrétien, le Seigneur voudra certainement lui montrer de quelle manière Il juge sa situation, et s’Il le considère, Lui, comme marié ou pas avec son conjoint précédent. Vivre ensemble pendant des années, avoir des enfants, vivre comme des gens mariés, puis se séparer pour convoler ailleurs, en se croyant libre parce qu’on n’a jamais officialisé un mariage, et sans penser aux dégâts que cela ne manquera pas de causer, surtout dans le coeur des enfants, cela dénote un sérieux manque du sens des responsabilités!

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  5. Denis Lauer dit :

    Merci pour ces paroles de foi. Que Dieu te bénisse.

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  6. freresaint dit :

    Bonjour Frère, merci pour cette parole de réconfort, j’en ai bien besoin en ce moment. Que le Seigneur te bénisse et te remplisse davantage, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ!

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