B283-La repentance.

Article de Henri Viaud-Murat.

Le 1r mars 2020, s’est tenu à Lingolsheim, dans le Bas-Rhin, un séminaire d’enseignement sur le thème suivant:

« La repentance »

Vous trouverez dans cet article les enregistrements de ce séminaire.

Le Seigneur Jésus et les apôtres ont prêché la repentance dès le début de leur ministère.

La repentance est la clef qui ouvre la porte du salut par la foi en Jésus-Christ.

Nous devons donc savoir ce que le Seigneur nous dit en ce qui concerne la repentance. Quelle est la définition biblique de la repentance, quel est le fruit de la repentance, et ce que signifie marcher dans notre vie chrétienne dans un esprit de repentance permanente?

En cliquant sur le lien suivant, vous pourrez entendre les enregistrements de ce séminaire:

https://www.dropbox.com/sh/zr09dd6yupg3drm/AAC1veYz_ZmOn1N6AHpZwef9a?dl=0

8 Responses to B283-La repentance.

  1. Éric dit :

    Bonjour Henri, Je suis en train d’écouter toutes les dernières séries audio, ainsi que tous les enseignements textes, et c’est une grande joie pour moi, car je sais que ce qui est partagé est la vérité. Merci. Il me manque un éclairage sur les châtiments de Dieu envers Ses enfants, si ces derniers tardent à se repentir. Quels peuvent être ces châtiments? Je pense aussi aux personnes qui prennent la Sainte Cène indignement (1 Corinthiens 11:27-32): il est aussi question de châtiment par le Seigneur, et même d’infirmité et de maladies. Est-ce qu’on doit comprendre qu’en cas de refus appuyé de se repentir, et en cas de prise de la Sainte Cène indignement, on ouvre une porte à Satan pour qu’il nous attaque? Ou faut-il interpréter autrement? Merci d’avance pour les précisions. Que Dieu te bénisse.

    J’aime

    • Henri Viaud-Murat dit :

      Cher frère, si tu prends l’exemple du Corinthien qui vivait avec la femme de son père, Paul l’a livré à Satan. En fait, c’est Dieu qui l’a livré à Satan, par Paul. Mais ne peut-on pas dire aussi que c’est cet homme lui-même qui s’est livré à Satan, par son péché et son manque de repentance? Il en est ainsi de tout péché. Dieu a établi une loi: le salaire du péché, c’est la mort, et c’est un jugement de Dieu sur le péché. Ceux qui prennent la Cène indignement, en fait, se livrent eux-mêmes à Satan, mais c’est un jugement de Dieu. Lorsque nous nous repentons, le jugement est levé. Dieu ne livrerait jamais personne à Satan, si personne ne se livrait d’abord au péché! A la limite, Dieu n’a même pas besoin d’intervenir Lui-même à chaque fois, la loi qu’Il a établie agit aussitôt que quelqu’un pèche. De même, quand nous nous repentons, ce que Jésus a accompli il y a 2000 ans agit aussitôt pour que nous soyons pardonnés.

      J’aime

  2. soldat en Jésus-Christ dit :

    Bonjour frères et soeurs en Christ, Concernant les commentaires qui précèdent, je suis complètement en accord avec vous. Mon mari est dans l’agriculture biologique, mais nous mangeons aussi bien les produits du marché que sa propre production. Nous sommes convaincus que manger sainement sans excès de table contribue aussi également à une bonne santé pour notre corps. Notre priorité n’est pas cela, mais notre vie spirituelle en premier qui, comme le dit si bien la Parole de Dieu : « Le Royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire mais la paix, la joie et la justice de Dieu. » Donc, en conclusion, la sagesse de Dieu nous garde dans une constante vigilance et nous permet de vivre en harmonie avec Sa Parole. Belle journée à vous tous!

    Aimé par 1 personne

  3. Nathalie dit :

    Inversement, on ne peut plus acheter d’aliments en magasin bio (tout simplement parce qu’on ne les trouve pas ailleurs. Par exemple, des dattes non enrobées de sucre ou certains « beurres » d’oléagineux), sans risquer de se faire juger, fustiger avec les versets sur l’alimentation et être obligé de se justifier. Et puisqu’il ne faut pas questionner ce qu’on trouve sur le marché, on ne peut pas non plus invoquer la qualité (les avocats bio sont très rarement noirs à l’intérieur, les oranges bio sont bien plus douces, les reinettes du Canada font d’excellentes pommes au four mais je n’en trouve pas en non bio, etc.), certains fruits de supermarché ne mûrissent jamais ou pourrissent dans le compotier ou sont insipides et les enfants ne veulent pas en manger. Ce n’est pas forcément bien plus cher, surtout si certains fruits non bio finissent à la poubelle. Il y a une grande volatilité des prix. Cela dépend aussi de la quantité ingérée. Il y a beaucoup de jugements de la part de chrétiens, comme l’argument de l’égoïsme. Et pourtant, certains d’entre eux dépensent 1000 euros par an pour nourrir leur chien, un simple animal de compagnie. S’alimenter devient pénible de nos jours. La cause animale est encore un autre sujet, avec les poules élevées en batterie, etc. Alors soyons équilibrés et n’utilisons pas les versets sur l’alimentation pour en fait discuter des opinions.

    J’aime

    • Henri Viaud-Murat dit :

      Il n’y a aucun problème à manger bio si l’on trouve que le goût ou la qualité des aliments sont meilleurs, et si on a les moyens de le faire. Le problème est celui de la motivation qui nous fait manger bio. Il vaut mieux compter sur le Seigneur pour nous protéger, nous guérir et nous garder ensuite en bonne santé! Sinon, on déprécie le sacrifice du Seigneur Jésus à la croix. S’Il S’est chargé de nos péchés, c’est d’abord pour nous délivrer de la condamnation et de l’enfer, mais aussi pour prendre sur Lui les conséquences du péché du monde: la malédiction, les maladies et les infirmités. Quand on sait cela, et que l’on compte avant tout sur la fidélité du Seigneur à Sa Parole pour nous accorder tous les bénéfices de la croix, il n’y a aucun problème à manger bio si c’est réellement meilleur au goût!

      J’aime

  4. lynew dit :

    Bonsoir, Je suis Lyne du Québec. Merci pour vos enseignements. Gloire à Dieu, nous sommes vraiment bénis. Nous sommes deux soeurs du Québec qui aimerions correspondre avec vous. Je vous transmets une lettre de ma soeur Mélanie. Demeurez béni, cher frère Henri.

    Que la grâce du Seigneur et Sa paix soient avec vous, monsieur Viaud-Murat. Je suis une chrétienne du Québec, qui côtoie quelques frères et sœurs, sortis des églises pour des raisons doctrinales. Je me considère comme une brebis qui a donné son cœur au Seigneur il y a 15 ans, mais qui était très égarée. Par la grâce de Dieu, un couple chrétien, animé d’un zèle selon le Seigneur, a été mis sur mon chemin. J’ai eu la révélation excellente de la marche par l’esprit il n’y a pas si longtemps et je relis les Écritures à la lumière de ce nouvel enseignement pour moi, avec un nouveau regard. Force est de constater que le libéralisme chrétien m’entoure, ainsi que la marche par la chair. 

    Je soulèverai un problème devenu fléau autour de moi: l’alimentation biologique et l’intolérance alimentaire. Ces affinités regroupent des chrétiens charnels ensemble, se convainquant d’être davantage dans la voie de Dieu par les choix nutritionnels qu’ils font, étant presque tous atteints d’intolérance au lactose ou au gluten. Les discussions autour de ces sujets ont pratiquement remplacé ce qui concerne Christ. Il y a donc consultation massive de naturopathes, d’herboristes, de magasins d’alimentation naturelle… Ayant rarement été exhortée dans la Parole parmi ces chrétiennes, je ne sais trop quelle attitude avoir en leur présence, sans me retrouver face à du rejet complet. J’ai à cœur l’édification. 

    Personnellement, j’ai choisi de nourrir ma famille avec ce que le marché offre, sans chercher à aller plus loin, puisque pour moi, j’ai la foi que Dieu bénit tous nos repas, comme nous le Lui demandons humblement. Je ne peux m’empêcher de penser que ce désir de s’alimenter bio et de chercher à trouver les aliments les meilleurs est un énorme piège, complètement charnel pour les enfants de Dieu. De plus, personne parmi elles ne cherche les guérisons par imposition des mains et par la prière, au moment où nous nous rencontrons. Le sacrifice à la croix n’a jamais été entièrement compris. Dernièrement, j’ai eu une infection aux amygdales qui m’a poussée à jeûner pendant 7 jours. Je ne pouvais plus avaler ma salive ni même parler, tellement l’infection avait empiré. Mais je m’étais refusée à avoir recours à autre chose que le Seigneur, étant pleinement convaincue de tout ce qui a été fait à la croix pour nous. Puis, pendant la 7e journée, le Seigneur m’a guérie!! Je me sens animée d’un zèle pour confronter ces préceptes qui rendent captifs selon la chair ceux qui les pratiquent. Je ne veux cependant pas tourner les versets bibliques à mon avantage, ou tordre les Écritures, mais plutôt pousser ces femmes à la réflexion profonde sur la marche par l’Esprit. J’aimerais connaître votre pensée à ce sujet, sachant que vous marchez par l’Esprit. Je vous remercie sincèrement, soyez béni.

    Mélanie Martin, votre sœur en Christ.

    Aimé par 1 personne

    • Henri Viaud-Murat dit :

      Chère soeur, Tu as raison, cette recherche de la nourriture bio ou d’une alimentation naturelle révèle en fait une crainte de tomber malade en absorbant de la nourriture « souillée. » Si on s’engage sur cette voie, on se met sous un joug et on quitte le domaine de la foi. Quand nous sommes dans la foi, il nous suffit de rendre grâce avant de prendre un aliment quelconque, et tout est purifié par la prière et la Parole. On peut ainsi manger de tout ce qui se vend sur le marché, sans crainte d’être contaminé. On sous-estime trop la puissance de la prière avant les repas. Celle-ci, quand elle est faite avec foi, transforme littéralement la nature des aliments. En outre, si l’on croit que le Seigneur, sur la croix, S’est chargé de toutes nos maladies et de toute la malédiction résultant du péché, nous n’avons plus à craindre de tomber malades à cause de ce que nous mangeons ou buvons. Nous pouvons ainsi manger de tout, avec modération, bien entendu, et le Seigneur honorera notre foi en Sa protection!

      Aimé par 2 personnes

Laisser un commentaire